Plus de 3 milliards de téléspectateurs, des stades pleins à craquer, sur de nouvelles terres de rugby et un pays qui peut entrer dans l’histoire en remportant la Coupe du Monde trois fois de suite. Tous les ingrédients sont réunis pour faire de la 9ème Coupe du Monde au Japon, une grande fête du rugby international.
Si la logique est respectée, le haka, le chant traditonnel néo-zélandaise, sera mis en scène au Nissan Stadium de Yokohama le 2 Novembre prochain. Sur le papier, les All Blacks sont les grands favoris pour les six prochaines semaines, mais depuis leur troisième lors du Tri-Nations en Août, tout semble à nouveau possible pour les outsiders. Si les Néo-zélandais retrouvent leur sang-froid, ils pourront soulever le trophée Webb Ellist comme ils l’ont déjà fait en 2011 et 2015.
Fiji, le vivié des athlètes de rugby, l’Afrique du Sud, le Pays de Galles, l’Angleterre et l’Irlande sont les autres finalistes potentiels. L’Irlande a joué de loin le meilleur rugby du monde jusqu’à il y a un an, mené par Rory Best, Conor Murray et Jonny Sexton, mais le numéro un mondial est tombé dans la moitié de tableau de l’Afrique du Sud et de la Nouvelle-Zélande. Enfin, on attend beaucoup du Japon, l’étoile montante du rugby. Lors de la Coupe du Monde 1995, les Japonais ont perdu 145-17 contre la Nouvelle-Zélande, mais de l’eau à coulé sous les ponts, et ils peuvent maintenant rivaliser avec les tous meilleurs. Il y a quatre ans, ils ont battu les Springboks sud-africains 34-32 dans l’un des matchs de la Coupe du Monde les plus incroyables de l’histoire.
Sur le plan individuel, Cheslin Kolbe (Afrique du Sud), Seme Radradra (Fidji), Damien Penaud (France), Dan Biggar (Pays de Galles), Tom Curry (Angleterre), Ardie Savea (Nouvelle-Zélande) et Pablo Matera (Argentine) seront en compétition pour le titre de meilleur joueur de la Coupe du monde.
*Merci à Masters of Betfirst pour les tuyaux
**Les cotes indiquées sont indicatives et non contraignante